Depuis le 1er octobre, notre plateforme de crowdfunding dédiée aux projets Climatech et Cleantech est en ligne, prête à accueillir celles et ceux qui veulent investir dans l'avenir de notre planète. 🌍💚
N'hésitez pas à partager et diffuser la web-série d’AXA Prévention, toujours d'actualité, qui présente les bons réflexes à avoir sur la prévention de l’hyperconnexion, de l’environnement et du climat, de la santé mentale, de la prévention routière et de la prévention des accidents domestiques.
La certification NF Habitat garantit que les logements – qu'ils soient individuels, collectifs, ou destinés à des résidences services (seniors, étudiants) et établissements médico-sociaux – sont conçus, rénovés ou exploités dans le respect des plus hauts standards de qualité, de durabilité et de confort. Elle s'appuie sur des critères stricts, tirés du cadre de référence HQE (Haute Qualité Environnementale).
Pourquoi adopter cette certification dans vos projets de
logement ?
- Une démarche reconnue : plus de 3 millions de logements en France sont certifiés ;
- Des avantages pour les habitants : les bâtiments certifiés sont non seulement plus économes en énergie, mais aussi plus confortables et sains pour leurs occupants, avec des frais d’entretien réduits ;
- Un
engagement en faveur du climat : la certification garantit le respect
des prescriptions environnementales, des PLU/PLUI et des chartes
territoriales dans le cadre de projets immobiliers.
Un outil pour les collectivités
Cette certification s’adresse particulièrement aux maîtres
d’ouvrage, bailleurs sociaux, promoteurs et constructeurs, mais aussi aux collectivités
telles que les EPA, OIN, SEM, SPL ou SPLA, qui souhaitent s’assurer que leurs
projets de logements respectent des critères exigeants en matière de
développement durable. Aujourd'hui, 75 collectivités ont déjà fait le
choix d’aller plus loin et de prescrire cette démarche pour offrir à leurs
concitoyens des logements de qualité.
Comment élaborer ou renforcer votre stratégie RSE ? Quels sont les principes clés à maîtriser ? Quelles actions concrètes peuvent être mises en œuvre ? Pour tout savoir sur ce sujet, nous vous recommandons vivement la lecture du « Le Grand Livre de la RSE » issu des débats et échanges de la première édition du Congrès International de la RSE.
Sous la forme d'une bande dessinée d'un récit de navigation et de ses rencontres, Charles Altorffer revient sur les réflexions du "Parlement de Loire", collectif citoyen et pluridisciplinaire visant à définir, pour la Loire, une personalité juridique. Un fleuve aujourd'hui, et peut-être une montagne, une vallée, un site naturel demain... peuvent-ils / doivent-ils bénéficier d'une personalité juridique ? Peuvent-ils devenir un sujet de droits, au-delà d'un objet à défendre et protéger ?... Autant de questions que pose cet ouvrage avec autant d'humour que de gravité. L'humain est-il alors un partenaire, une menace, un gardien, un ennemi, un vivant parmi les autres de l'écosystème Loire ?... Cette bande dessinée interroge notre rapport à la nature, aux paysages, aux éléments naturels, aux communs... et leur appropriation. Une façon de faire un pas de côté graphique, philosophique, sociologique, écologique... pour nourrir nos stratégies et règlementations territoriales et nationales.
Après le succès de l’opération citoyenne à Corbelin en mai 2024 qui s’est traduite par une commande groupée de panneaux photovoltaïques Plug & Play, nous avons décidé d'aller encore plus loin en créant l’association "Le Solaire aux Balcons". Officiellement lancée, cette initiative vise à étendre la production d’énergie en autoconsommation sur tout le territoire des Balcons du Dauphiné (6 polartiés). Dès début 2025, une nouvelle campagne couvrira les 47 communes de la région, avec un objectif clair : aider les citoyens à réduire leurs facture ! Des réunions publiques d’information seront programmées dès novembre pour répondre aux questions et permettre à tous de se joindre au mouvement, même en dehors du territoire. Des communes comme Belmont ont déjà décidé de rejoindre l’aventure.
L’association privilégie l’appel à des entreprises locales et travaille sur un cahier des charges technique rigoureux, en cours de validation. N’hésitez pas à me contacter pour nous rejoindre !
- Cette étude traite d’un sujet jusqu’alors ignoré : la santé mentale des maires français.
- 300 600 données collectées.
- 1120 maires participants lors de la première collecte du 22 février 2024 jusqu’au 13 mars 2024, puis de 900 maires lors de la seconde collecte du 7 juin au 11 juillet 2024.
- 69,3% des maires affichent une satisfaction en tant qu’élu, ce qui contraste avec la perception générale : 31,40% des maires font face à un début d’épuisement.
- 3,5 % sont en risque sévère d’épuisement, soit environ 1200 maires, sur la base d’un échantillon représentatif, redressé en fonction de l’âge, du sexe, du cumul avec un emploi et de la répartition régionale.
- Les femmes maires présentent un risqué de burnout significativement plus élevé. De même, l’isolement du maire est un facteur aggravant.
- 34 évènements positifs, les “satisfacteurs”, ont été catégorisés et hiérarchisés pour construire un “satisfactomètre” des maires. Outre les aspects familiaux, les satisfacteurs les plus intenses sont la “fin/réussite d’un projet/dossier”, les “cérémonies/célébrations” et la “bonne entente avec le conseil municipal”.
- 34 évènements négatifs, les ‘stresseurs’, ont été catégorisés puis hiérarchisés pour construire un “stressomètre” des maires. Les stresseurs les plus intenses sont la “complexité/lourdeur administratives”, la “charge de travail de la fonction/manque de temps” et les “difficultés liées aux subventions”.