Trouver des solutions par domaine d'action publique
Repenser l'aménagement et la gestion du foncier
Adapter l'offre immobilière (construction, rénovation)
Concevoir une offre de mobilité structurante
Produire une énergie locale et rentable
Préserver les ressources en eau
Recycler et valoriser les déchets
Protéger la nature et la biodiversité
Favoriser la santé-environnement
Renforcer la souveraineté alimentaire
Accélérer la rénovation énergétique
Stimuler le développement économique
Déployer une stratégie bas-carbone
Apporter de nouveaux services, renforcer la cohésion sociale
Exploiter l'intelligence artificielle
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Association QualitelGéomètre Expert
Amandine TISLER,
Qualitel
19 septembre 2024
#solution
#immobilier
#amenagement
Qu'est-ce que la certification NF Habitat – NF Habitat HQE ?

La certification NF Habitat garantit que les logements – qu'ils soient individuels, collectifs, ou destinés à des résidences services (seniors, étudiants) et établissements médico-sociaux – sont conçus, rénovés ou exploités dans le respect des plus hauts standards de qualité, de durabilité et de confort. Elle s'appuie sur des critères stricts, tirés du cadre de référence HQE (Haute Qualité Environnementale).

Pourquoi adopter cette certification dans vos projets de logement ?

  • Une démarche reconnue : plus de 3 millions de logements en France sont certifiés ;
  • Des avantages pour les habitants : les bâtiments certifiés sont non seulement plus économes en énergie, mais aussi plus confortables et sains pour leurs occupants, avec des frais d’entretien réduits ;
  • Un engagement en faveur du climat : la certification garantit le respect des prescriptions environnementales, des PLU/PLUI et des chartes territoriales dans le cadre de projets immobiliers.

Un outil pour les collectivités

Cette certification s’adresse particulièrement aux maîtres d’ouvrage, bailleurs sociaux, promoteurs et constructeurs, mais aussi aux collectivités telles que les EPA, OIN, SEM, SPL ou SPLA, qui souhaitent s’assurer que leurs projets de logements respectent des critères exigeants en matière de développement durable. Aujourd'hui, 75 collectivités ont déjà fait le choix d’aller plus loin et de prescrire cette démarche pour offrir à leurs concitoyens des logements de qualité.

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Julie Balmisse,
Fondation Oïkos
17 septembre 2024
#actualite
#economie
#energie
Découvrez « Le Grand Livre de la RSE »

Comment élaborer ou renforcer votre stratégie RSE ? Quels sont les principes clés à maîtriser ? Quelles actions concrètes peuvent être mises en œuvre ? Pour tout savoir sur ce sujet, nous vous recommandons vivement la lecture du « Le Grand Livre de la RSE » issu des débats et échanges de la première édition du Congrès International de la RSE.

 
Récompensé par le Prix Turgot 2024, cet ouvrage collectif, fruit de la collaboration de plus de vingt experts, vous accompagnera à travers les fondamentaux de la RSE, que vous soyez débutant ou expert. Vous y trouverez de nombreuses recommandations, des exemples concrets d'application dans divers secteurs (production, achats, finance, marketing, ressources humaines), mais aussi des analyses critiques.
 
Pour aller plus loin et rejoindre notre comité d’experts sur la RSE, nous vous encourageons à participer à la prochaine édition du Congrès International de la RSE, organisée par la Fondation Oïkos, qui se tiendra à Toulouse du 16 au 18 octobre 2024.

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Nicolas Haslé,
SCoT des Territoires du Grand Vendômois
12 septembre 2024
#juridique
#sante
#biodiversite
Vers une personalité juridique de la Loire ?...

Sous la forme d'une bande dessinée d'un récit de navigation et de ses rencontres, Charles Altorffer revient sur les réflexions du "Parlement de Loire", collectif citoyen et pluridisciplinaire visant à définir, pour la Loire, une personalité juridique. Un fleuve aujourd'hui, et peut-être une montagne, une vallée, un site naturel demain... peuvent-ils / doivent-ils bénéficier d'une personalité juridique ? Peuvent-ils devenir un sujet de droits, au-delà d'un objet à défendre et protéger ?... Autant de questions que pose cet ouvrage avec autant d'humour que de gravité. L'humain est-il alors un partenaire, une menace, un gardien, un ennemi, un vivant parmi les autres de l'écosystème Loire ?... Cette bande dessinée interroge notre rapport à la nature, aux paysages, aux éléments naturels, aux communs... et leur appropriation. Une façon de faire un pas de côté graphique, philosophique, sociologique, écologique... pour nourrir nos stratégies et règlementations territoriales et nationales.


Un ouvrage co-édité avec le POLAU-pôle arts & urbanisme et le collectif Vers un parlement de Loire (Juin 2024). En savoir plus

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Alain CHADI,
Mairie de Corbelin
5 septembre 2024
#actualite
#energie
"Le Solaire aux Balcons" Plug & Play

Après le succès de l’opération citoyenne à Corbelin en mai 2024 qui s’est traduite par une commande groupée de panneaux photovoltaïques Plug & Play, nous avons décidé d'aller encore plus loin en créant l’association "Le Solaire aux Balcons". Officiellement lancée, cette initiative vise à étendre la production d’énergie en autoconsommation sur tout le territoire des Balcons du Dauphiné (6 polartiés). Dès début 2025, une nouvelle campagne couvrira les 47 communes de la région, avec un objectif clair : aider les citoyens à réduire leurs facture ! Des réunions publiques d’information seront programmées dès novembre pour répondre aux questions et permettre à tous de se joindre au mouvement, même en dehors du territoire. Des communes comme Belmont ont déjà décidé de rejoindre l’aventure.

L’association privilégie l’appel à des entreprises locales et travaille sur un cahier des charges technique rigoureux, en cours de validation. N’hésitez pas à me contacter pour nous rejoindre !

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Cédric Szabo,
Association des maires ruraux de France
2 septembre 2024
#actualite
#services
Santé des maires : 69,3% des maires affichent une satisfaction en tant qu’élu

L'Association des Maires Ruraux de France - AMRF partenaire de l’Observatoire Amarok présente les résultats d’une étude exclusive sur la santé des maires. Cette Recherche a été conçue et financée par l’Observatoire AMAROK, association à but non lucratif et le LABEX Entreprendre de l’Université de Montpellier en collaboration avec l’AMRF avec John BILLARD.

Chiffres clés et faits saillants :
  • Cette étude traite d’un sujet jusqu’alors ignoré : la santé mentale des maires français
  • 300 600 données collectées.
  • 1120 maires participants lors de la première collecte du 22 février 2024 jusqu’au 13 mars 2024, puis de 900 maires lors de la seconde collecte du 7 juin au 11 juillet 2024.
  • 69,3% des maires affichent une satisfaction en tant qu’élu, ce qui contraste avec la perception générale : 31,40% des maires font face à un début d’épuisement.
  • 3,5 % sont en risque sévère d’épuisement, soit environ 1200 maires, sur la base d’un échantillon représentatif, redressé en fonction de l’âge, du sexe, du cumul avec un emploi et de la répartition régionale.
  • Les femmes maires présentent un risqué de burnout significativement plus élevé. De même, l’isolement du maire est un facteur aggravant.
  • 34 évènements positifs, les “satisfacteurs”, ont été catégorisés et hiérarchisés pour construire un “satisfactomètre” des maires. Outre les aspects familiaux, les satisfacteurs les plus intenses sont la “fin/réussite d’un projet/dossier”, les “cérémonies/célébrations” et la “bonne entente avec le conseil municipal”.
  • 34 évènements négatifs, les ‘stresseurs’, ont été catégorisés puis hiérarchisés pour construire un “stressomètre” des maires. Les stresseurs les plus intenses sont la “complexité/lourdeur administratives”, la “charge de travail de la fonction/manque de temps” et les “difficultés liées aux subventions”.
Ces deux outils – stressomètre et satisfactomètre – sont valides et prédictifs du risque de burnout des maires et de leur état de bien-être.
Ils permettront de bâtir ‘AMAROK e-SANTE Maires’, un dispositif inédit de prévention contre le burnout des maires avec une cellule d’écoute intégrée.


Cette étude sera présentée le samedi 28 septembre lors du Congrès des maires ruraux de France, ainsi qu’un autre atelier sur le statut de l’élu. Retrouvez le programme du Congrès.

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Mathilde De Sulzer Wart,
Sogefi
30 août 2024
#actualite
#mobilite
#amenagement
Panoramax : un géo-commun pour des vues immersives intégrées à vos projets

🌍 Panoramax est une alternative libre à Google Street View pour mettre en commun des photos du terrain. Toute personne peut photographier des lieux visibles depuis la voie publique et enrichir la base de données. Les photos sont librement réutilisables par tous et accesible depuis une visionneuse. Pour les techniciens, des API conformes aux standards "OGC Feature" et "STAC" sont disponibles.

🔍 Sogefi est partenaire de la démarche. Nous avons même été le deuxième plus grand contributeur d'images le mois dernier avec pas moins de 673 000 images déposées  !

🌟 Objectif : simplifier la gestion du partrimoine routier des collectivités avec des ressources gratuites.

Votre contribution peut également faire une grande différence : rejoignez-nous pour participer ! Déjà 284 229 km du territoire (routes, chemins, cours d'eau) est couvert sur toutes les instances publiques !

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Stella Gass,
Fédération des SCoT
27 août 2024
#actualite
#amenagement
50 nuances de vert : construire sa stratégie territoriale.

Les Rencontres Nationales des SCoT – qui démarrent ce jeudi  – vous propose cette année de vous pencher concrètement sur les solutions liées à la préservation de la biodiversité et à la renaturation de nos territoires. Elle seront introduites par Frédéric Leturque Maire d'Arras, Président de la Communauté Urbaine d'Arras,  Françoise Rossignol Présidente du SCOTA, 1ère Vice-Présidente de la Fédération Nationale des SCOT et Michel Heinrich Président de la Fédération Nationale des SCOT.

État des lieux et solutions concrètes pour la biodiversité

La première journée s'ouvrira sur une note d'urgence avec Brian Padilla, écologue au Muséum National d'Histoire Naturelle, qui présentera un état des lieux de la biodiversité après 40 ans d'érosion. La question est simple mais puissante : "Et maintenant ?" Il explorera les impacts de l'artificialisation et posera les questions cruciales sur les stratégies à adopter pour atteindre nos objectifs de conservation et inverser la tendance.

Des interventions de François Benech (avocat), Pascal Berteaud (Cerema), Kathleen Monod (OFB) et Aline Hébert (Maire de Saint-Martin-d'Août, SCOT Rives du Rhône) permettront d'éclairer comment intégrer ces stratégies dans nos territoires et de comprendre leur impact sur le cadre de vie, la santé publique, et la gestion des ressources naturelles. Des retours d'expérience concrets montreront que des changements significatifs sont possibles, à condition de revoir nos modèles politiques en profondeur.

En seconde partie de matinée, nous aborderons la renaturation, un concept clé dans la restauration des espaces naturels. Sébastien Dellinger (Bureau d'études Reihzan), Stéphane Raffalli (Maire de Ris-Orangis, Vice-Président de Grand Paris Sud) et Philippe Carton (Maire de Frévin Capelle, SCoT de l'Arrageois) partageront leurs expériences sur les initiatives locales, la gestion durable des sols, et la manière dont ces efforts contribuent à la lutte contre le changement climatique. Ils discuteront également des défis de concilier les besoins de l'agriculture, de l'urbanisme, et de la gestion de l'eau avec les objectifs de renaturation.

L'après-midi sera consacrée aux ateliers pratiques. Avec des quizz interactifs, les participants seront invités à réfléchir sur la mise en œuvre concrète de la renaturation et à partager leurs visions pour une gouvernance efficace de ces projets.

Vers une vision prospective et des récits renouvelés

La deuxième journée démarrera avec une table ronde centrée une vision prospective pour l'aménagement du territoire. Marc Kaszynski (Lifti) et Bruno Caleiro (EPFL) ouvriront le débat en soulignant l’évolution du travail des maires pour repenser la gestion du foncier. Nicolas Boulbes (Lidl) démontrera comment les acteurs jouent un rôle clé dans la préservation de la biodiversité et peuvent apporter des réponses pragmatiques. Cécile Grand (Ademe) Franck Breteau (Maire de Saint-Georges-du-Bois, SCoT du Pays du Mans) complèteront le tableau en partageant les enseignements des initiatives ZAN et en insistant sur l'importance d'une approche transversale et équilibrée pour le développement territorial.

La journée se terminea par une table ronde sur "L'importance des nouveaux récits territoriaux et de la gouvernance", où David-Marie Vailhe (Cerema), Jean-François Dauvergne( Maire de Régny, SCoT du Roannais), et Francis Vercamer (Maire de Hem, SCOT de Lille Métropole) discuteront des nouveaux modèles d'aménagement des territoires et verront comment construire et partager des récits qui captent l'imaginaire collectif et soutiennent les transitions vers des territoires plus durables et résilients.

Hâte de vous retrouver prendre part à la réflexion, au débat et à l'action !

Programme complet accessible ici.

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Danièle Licata,
ZePros Territorial
10 août 2024
#actualite
#services
#mobilite
Enquête sur la mobilité sociale et géographique des jeunes ruraux

L’Institut Terram, en collaboration avec Chemins d’avenirs et l’Ifop, a mené une étude approfondie sur la mobilité sociale et géographique des jeunes ruraux qui vivent dans des communes « peu denses » et « très peu denses », soit 88 % des communes en France. Cette enquête, menée par Félix Assouly, Salomé Berlioux et Victor Delage et réalisée auprès de plus de 4 000 jeunes de 15 à 29 ans, tant en milieu rural qu’urbain, révèle des disparités frappantes dans les opportunités et les contraintes vécues par ces deux groupes. Explications. Dans cette étude, les auteurs ont sondé les jeunes ruraux, « les oubliés de la vie politique et médiatique, des secteurs privés comme publics », même si « depuis quelques années, ils sortent peu à peu de cet angle mort » ne serait-ce que parce qu’ils représentent un quart des jeunes de 15 à 29 ans. Principal enseignement : la vie des jeunes ruraux en France est marquée par un défi constant : la distance. Plus en détails.


Rester ou partir ? Les dilemmes des jeunes ruraux
Lorsqu'on interroge les jeunes ruraux sur leur souhait de vie future, les réponses se divisent équitablement : 48 % veulent rester dans leur territoire d'origine, tandis que 52 % aspirent à partir. En comparaison, seulement 41 % des jeunes urbains souhaitent rester dans leur lieu d'origine, contre 59 % qui veulent bouger. Ces chiffres montrent une dualité entre l'attachement à leur terre natale et les défis pratiques liés à la mobilité.

Les kilomètres de la discorde
Les jeunes ruraux doivent composer avec des trajets quotidiens plus longs et plus fréquents. Ceux vivant dans des communes très peu denses passent en moyenne 2h37 dans les transports chaque jour, soit 42 minutes de plus que leurs homologues urbains. Cette réalité limite leur accès aux loisirs, à la culture, et même à la formation et aux opportunités professionnelles.

Dépendance à la voiture : un impératif coûteux
Les transports en commun sont rarement une solution viable pour les jeunes ruraux. Plus de la moitié d'entre eux (53 %) estiment être mal desservis par le réseau de bus, contre seulement 14 % des jeunes urbains. Le constat est similaire pour le train : 62 % des jeunes ruraux se déclarent mal desservis, contre 24 % des urbains. Cette insuffisance de transports publics renforce leur dépendance à la voiture. Près de 69 % d'entre eux l'utilisent quotidiennement, contre seulement 31 % des jeunes urbains. Cette dépendance entraîne des coûts importants et une vulnérabilité accrue face à des hausses des prix du carburant ou des pannes mécaniques.

L’éducation et l’emploi : des parcours entravés
La mobilité limitée affecte gravement l'accès à l'éducation et à l'emploi. Environ 38 % des jeunes ruraux en recherche d'emploi ont déjà renoncé à un entretien à cause de difficultés de déplacement, soit 19 points de plus que les jeunes urbains. Les frais de transport pèsent lourdement sur leur budget, atteignant en moyenne 528 euros par mois, contre 307 euros pour les jeunes urbains. Quant à l’accès à la formation, seuls 63 % des jeunes ruraux souhaitent poursuivre leurs études en milieu rural, un renoncement qui s’explique souvent par des coûts financiers trop lourds et des distances trop longues.

Inégalités dans l'accès aux loisirs et à la culture
Les contraintes de mobilité limitent également l'accès aux loisirs et à la culture. Environ 49 % des jeunes ruraux ont déjà renoncé à des activités culturelles en raison de difficultés de déplacement, un chiffre qui grimpe à 57 % dans les zones très peu denses. En comparaison, seulement 40 % des jeunes urbains se trouvent dans cette situation.

La santé mentale en péril
Le stress et l'anxiété touchent particulièrement les jeunes ruraux. 76 % d'entre eux déclarent avoir connu des périodes intenses de stress, et 35 % parlent de pensées suicidaires. La détérioration de la santé mentale est plus prononcée chez les jeunes ruraux que chez leurs homologues urbains, souvent due à l'isolement, aux contraintes de mobilité, au sentiment d’abandon.

La nécessité d'une réforme
Dans leur rapport, les auteurs insistent sur l’urgence de repenser les politiques publiques en matière de mobilité pour les jeunes ruraux. Cela pourrait inclure une meilleure desserte en transports en commun, des aides financières pour les déplacements, et des initiatives pour rapprocher les services essentiels des zones rurales.

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Lucien LALOUM,
MyComm
2 août 2024
#actualite
#services
#economie
L'exposition universelle d'Osaka 2025 : concevoir la société du futur, imaginer notre vie de demain

L’exposition universelle d'Osaka 2025, qui se déroulera du 13 avril au 13 octobre 2025 sur l'île de Yumeshima, s'annonce comme un événement majeur sur la scène internationale. Sur le thème "Concevoir la société du futur, imaginer notre vie de demain", cette exposition universelle invite les nations du monde entier à collaborer pour concevoir des solutions innovantes aux défis globaux.


Pourquoi l'exposition universelle d'Osaka 2025 s’annonce-t-elle cruciale ?
L'exposition universelle d'Osaka est une plateforme où les entreprises de chaque pays peuvent présenter leurs innovations et savoir-faire dans les domaines clés des technologies vertes, de la santé, de l'intelligence artificielle et des infrastructures durables. Pour les élus et les entreprises françaises, c'est une occasion unique :
  • de montrer le dynamisme et l'ingéniosité de la France sur la scène internationale,
  • de découvrir les dernières tendances, d’anticiper les évolutions futures et d’adapter les stratégies de développement économique et technologique en conséquence,
  • de s’inspirer de retours d’expérience d’autres pays,
  • d’engager des discussions bilatérales et multilatérales pour nouer des partenariats stratégiques.
Intégrez notre groupe d'études à la rentrée !
En tant que Mécène du Pavillon France, nous vous proposons de rejoindre un groupe d’études composés d’élus et d’entreprises. Ce groupe d'études aura pour mission :
  • d’organiser la présence française à l'exposition pour assurer une représentation cohérente et efficace et cohérente dans les secteurs clés,
  • de coordonner les efforts entre acteurs locaux et nationaux pour maximiser les impacts et les bénéfices de la participation française,
  • d'identifier les opportunités de partenariats et d’investissements avec des entreprises étrangères présentes à l'exposition,
  • d’analyser les innovations présentées à l'exposition pour en tirer des enseignements et des inspirations pour les politiques publiques et les stratégies d'entreprise.
Si vous souhaitez participer à ce groupe d'études ou rester informé de ses travaux pour ne rien rater des opportunités offertes par l'Exposition Universelle d'Osaka 2025, n'hésitez pas à utiliser le formulaire de contact ci-dessous ! 

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Stéphanie Poirier,
Communauté d'Agglomération d'Épinal
25 juillet 2024
#solution
#services
#energie
Encourager les citoyens à adopter des comportements éco-responsables

Durant cet été, une campagne de sensibilisation est déployée dans tous les gymnases, stades, piscines, bibliothèques, médiathèques, crèches, conservatoires de la communauté d'agglomération d’Épinal. Cette campagne réalisée en partenariat avec la Banque des Territoires et Engie s’inscrit dans la démarche "L'efficacité énergétique autofinancée" (LEEA) qui repose sur un principe simple et efficace : utiliser les économies d’énergie réalisées pour financer des travaux d’efficacité énergétique et atteindre un retour sur investissement inférieur à 12 ans.

Des économies énergétiques réelles
Depuis le lancement de la démarche en 2021, 46 bâtiments ont été audités et 21 d'entre eux ont déjà bénéficié de travaux d'amélioration. Les travaux réalisés en 2022, pour un montant de 137 000 €, ont permis d’obtenir dès 2023 une économie d’énergie de 30%. Soit 53 tonnes d'émissions de CO2 évitées !

Focus sur les travaux du Pôle Petite Enfance
Pour le Pôle Petite Enfance, les travaux s’élèveront à 116 000 € en 2024, avec des subventions mobilisées à hauteur de 50 000 € grâce à la Dotation de Soutien à l'Investissement Local (DSIL) et aux Certificats d’Économies d’Énergie (CEE). Les économies annuelles sont estimées à 8 000 €, ce qui signifie que l'investissement sera amorti en sept ans. De nouveaux travaux sont programmés pour l'été 2024 avec notamment le relamping LED du bâtiment, le remplacement de la porte d'entrée et des menuiseries extérieures côté "Terrasse".

Investissements et développements futurs
L’engagement de la communauté ne s’arrête pas là. Pour 2024, un budget d’un million d’euros a été voté pour poursuivre les travaux de rénovation mais également développer la production d’ENR.

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