Trouver des solutions par domaine d'action publique
Repenser l'aménagement et la gestion du foncier
Adapter l'offre immobilière (construction, rénovation)
Concevoir une offre de mobilité structurante
Produire une énergie locale et rentable
Préserver les ressources en eau
Recycler et valoriser les déchets
Protéger la nature et la biodiversité
Favoriser la santé-environnement
Renforcer la souveraineté alimentaire
Accélérer la rénovation énergétique
Stimuler le développement économique
Déployer une stratégie bas-carbone
Apporter de nouveaux services, renforcer la cohésion sociale
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Aude VASPART,
Art Urbain dans les Territoires
29 avril 2025
#actualite
#amenagement
#eau
Prix National Art Urbain 2025 : appel à candidatures

L’eau, ressource essentielle à la vie, est aujourd’hui au cœur des défis climatiques. Crues dévastatrices, sécheresses persistantes, pollution, artificialisation des sols… longtemps perçue comme inépuisable, elle nous oblige désormais à repenser en profondeur la manière dont nous aménageons nos villes, bourgs et villages.
« L’eau façonne nos territoires autant qu’elle révèle leurs vulnérabilités. À l’heure du changement climatique et de l’effondrement de la biodiversité il est essentiel de transformer nos choix d’aménagement, notre façon de construire et de vivre avec elle. »
Face à ces enjeux, le Prix National Art Urbain 2025 appelle à une réflexion collective : comment planifier, concevoir et réaliser des espaces résilients, capables d’absorber les excès de l’eau tout en valorisant ses bienfaits, pour garantir un avenir durable à nos territoires ?

Habiter avec l’eau : recontextualiser l'aménagement des villes, bourgs et villages
Le Prix National Art Urbain 2025 récompensera des réalisations qui intègrent durablement l’eau dans l’aménagement urbain et paysager. Les solutions présentées pourront porter sur :
  • l’aménagement de sites conçus pour anticiper et atténuer les risques d’inondation ;
  • la reconquête de berges et l’adaptation des constructions en bord de cours d'eau ;
  • la réouverture de rivières enterrées ou de rus busés pour restaurer des continuités écologiques ;
  • la création d'espaces naturels d'infiltration, de rétention et de stockage de l'eau ;
  • la réhabilitation de zones humides permettant de réintroduire et de préserver le vivant ;
  • l’intégration d’outils d’aide à la décision basés sur la modélisation hydrologique et l'urbanisme résilient ;
  • la conception de quartiers ou le développement d’opérations immobilières avec une approche systémique de la gestion de l'eau ;
  • la valorisation des voies d’eau comme axes structurants pour la mobilité douce et les espaces de loisirs ;
  • l'expérimentation de formes d’agriculture urbaine et périurbaine contribuant à la sécurité des villes et villages.
Un comité de sélection pour viser l’excellence
Un jury d’exception, réunissant des figures de l’urbanisme et des spécialistes de l’eau, sélectionnera les projets les plus pertinents et novateurs selon plusieurs critères :
  • l’impact environnemental et la résilience des solutions proposées ;
  • l’intégration paysagère et urbaine ;
  • la pertinence des réponses apportées aux défis liés à l’eau ;
  • le caractère reproductible et exemplaire des réalisations.
  • Un prix participatif : élus, citoyens et internautes au cœur du vote !
  • Le Prix National Art Urbain associe les parties prenantes, le public et les internautes dans le choix des lauréats.
  • Un Prix National décerné parmi 6 lauréats sélectionnés par le comité d’experts.
  • Trois Mentions spéciales : qualité architecturale, qualité de la vie sociale, respect de l’environnement.
  • Le Prix du Public attribué à l’issue d’un vote à bulletin secret lors de la présentation des projets en salle.
  • Le Prix Internet récompense le projet préféré des citoyens et internautes via un vote en ligne.
Qui peut candidater ?
Le Prix est ouvert à un large panel d’acteurs :
  • Collectivités territoriales (communes, intercommunalités, métropoles) ;
  • Aménageurs publics ou privés, promoteurs et bureaux d’études ;
  • Architectes, urbanistes, géomètres-experts et paysagistes ;
  • Ingénieurs en hydrologie et infrastructures ;
  • Associations et porteurs de projets innovants.
Calendrier de l’édition 2025
  • Clôture des candidatures : 26 septembre 2025
  • Sélection des finalistes par le jury : octobre 2025
  • Vote en ligne : 5 au 20 novembre 2025
  • Annonce des lauréats et remise des prix : 27 novembre 2025 au ministère de l’Aménagement du territoire et de la Transition écologique
Une reconnaissance nationale pour les lauréats
Les lauréats du Prix National Art Urbain 2025 bénéficieront :
  • d’une mise en lumière de leurs projets à travers une publication et une exposition nationale ;
  • d’un accompagnement pour la valorisation et la diffusion de leurs réalisations ;
  • de la reconnaissance du Prix National Art Urbain comme gage d'excellence et d'innovation.
Candidatures et informations sur www.art-urbain.fr

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Nicolas Haslé,
SCoT des Territoires du Grand Vendômois
28 avril 2025
#solution
#amenagement
#services
À Vendôme, les cours d’école se réinventent avec les enfants

Dès l’automne prochain, Vendôme accueillera une nouvelle édition de ses résidences de paysagistes-concepteurs pour transformer les cours de ses écoles en véritables lieux de vie, de nature et de bien-être.

Fort du succès de la première édition — qui avait vu cinq équipes investir cinq écoles avec les enfants, les enseignants et les agents pour co-imaginer des cours plus vertes, plus fraîches et plus inclusives — la ville renouvelle l’expérience en partenariat avec le CAUE de Loir-et-Cher.

Objectif : associer les enfants dès le départ à la transformation de leur cadre quotidien, à travers des ateliers créatifs, pédagogiques et ludiques. Ombre, végétation, eau, biodiversité, jeux et calme sont autant de fils conducteurs pour penser autrement les espaces de récréation.

Dès l’été, deux premiers projets seront réalisés dans les écoles participantes de la première vague, et à l’automne, cinq nouvelles équipes viendront s’installer à Vendôme pour une semaine de résidence immersive.

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Danièle Licata,
ZePros Territorial
24 avril 2025
#actualite
#sante
#services
3 Minutes / 3 Questions dans les conditions du Direct avec Cédric Pemba-Marine, Maire du Port-Marly

Zepros Territorial vous emmène chaque semaine avec France Climat à la rencontre d’un élu de France. Un format direct, rapide et percutant pour découvrir les défis, réussites et visions de femmes et d’hommes engagés. Invité cette semaine, Cédric Pemba-Marine, maire du Port-Marly et Vice-Président de la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine. En 3 minutes chrono, il partage ses projets marquants, ses petites frustrations et ses grandes ambitions pour sa commune. Un échange sans détour, à ne pas manquer ! 

Quel est le projet dont vous êtes le plus fier ?
Deux projets me tiennent particulièrement à cœur. Le premier projet est né de la volonté de repenser notre rapport à la Seine. Comme beaucoup de villes, la nôtre s’était construite en tournant le dos au fleuve. Aujourd’hui, nous avons décidé de renouer avec cette dimension portuaire qui fait partie de notre identité. Le port de Port-Marly a été réaménagé en profondeur. Les berges, autrefois peu accessibles, boueuses et délaissées, sont devenues un véritable lieu de promenade, de rencontres, de respiration. C’est un espace vivant, partagé, où la biodiversité retrouve aussi sa place. Nous avons pris soin d’intégrer des dispositifs de phytoépuration pour les bateaux-logements. Cette reconquête des berges s’inscrit aussi dans une dynamique plus large puisque je représente notre communauté d’agglomération dans l’entente Axe Seine, un travail commun mené avec d’autres villes, de Rouen à Paris, en lien avec des élus comme Édouard Philippe, Anne Hidalgo ou Patrick Ollier.
Le second projet est d’un tout autre ordre, mais tout aussi symbolique à mes yeux : la transformation d’un ancien foyer en un lieu intergénérationnel. Ce bâtiment accueille aujourd’hui des événements, des ateliers, des repas partagés entre habitants… C’est devenu un vrai lieu de lien social. Par exemple, nos "Bien à table", ces dîners organisés plusieurs fois par an avec les habitants, permettent à des personnes qui vivaient à deux rues l’une de l’autre sans se parler de se découvrir, d’échanger. C’est cette proximité recréée, cette chaleur humaine retrouvée, qui fait toute la force de ce lieu.

Un projet vous laisse-t-il un goût d’inachevé ?
Oui, clairement. Il s’agit de la relation que nous essayons de reconstruire avec les bailleurs sociaux. Cela fait cinq ans que nous travaillons à resserrer les liens pour améliorer la qualité de vie des habitants, mais nous n’avons pas réussi à aller au bout de cette ambition. Le lien humain, fondamental, s’est distendu. Il y a quelques jours encore, je recevais un message de la directrice d’un des bailleurs qui reconnaissait, avec honnêteté, les manquements. À l’origine, les gardiens jouaient un rôle clé : présence, écoute, médiation. Aujourd’hui, dans un contexte de rationalisation des coûts, ces fonctions se sont effacées. Or ce lien humain est essentiel, c’est lui qui donne toute sa valeur au service public. C’est ma plus grande frustration : ne pas être parvenu à restaurer pleinement cette confiance et cette proximité.

Quels projets marqueront votre mandat ?
Ce que je retiendrai de mon mandat avant tout, c’est la richesse des rencontres humaines. J’ai découvert des parcours de vie bouleversants. Souvent, ce que les gens attendent, ce n’est pas une solution immédiate, mais simplement qu’on les écoute. Et ça change tout. Une écoute sincère peut suffire à ouvrir un espace, une perspective, un apaisement. J’ai souvenir d’une femme hébergée dans un hôtel de la commune, arrivée de Côte d’Ivoire après un parcours d’exil extrêmement douloureux. Elle ne pouvait même plus formuler un rêve, tant elle vivait dans l’urgence du lendemain. Nous avons pu lui permettre de se projeter, un peu. Ces histoires-là vous marquent pour toujours.
Elles disent aussi beaucoup de ce que devrait être l’action publique : un engagement pour la dignité, pour la reconnaissance, pour le lien. Même dans les situations les plus tendues – je pense à l’accueil de personnes précaires dans notre commune, imposé sans concertation par l’État – nous avons tenté de faire au mieux, avec humanité. Mais il faut que cela se fasse dans le respect des territoires, et pas contre eux.
Je suis un privilégier, j’ai eu de la chance. J’en suis conscient. C’est aussi pour cela que je veux redonner, transmettre, et ne pas oublier ce que ces vies invisibles ont à nous apprendre. Si j’ai un jour à écrire une histoire, ce sont aussi ces voix-là que je voudrais faire entendre.

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Nicolas Haslé,
SCoT des Territoires du Grand Vendômois
17 avril 2025
#actualite
#services
Municipales 2026 : les difficultés des maires pointent là où il faut agir

À moins d’un an des élections municipales, que nous apprend l’enquête menée auprès des maires par le Cevipof en partenarait avec le ministère et les associations d’élus ?
  • Ce qui est perçu comme le plus facile : les démarches administratives.
  • Ce qui est vu comme le plus difficile : l’urbanisme, suivi de la sécurité et de l’aménagement de l’espace.
Les domaines perçus comme "entre les deux" : logement, transport, développement économique, environnement (déchets, eau, assainissement). Côté services à la population, l’action sociale, le sport et la culture sont plutôt bien maîtrisés ; l’enfance et la jeunesse restent plus complexes à gérer.

Partout, les maires réclament plus d’ingénierie, bplus d’autonomie bet des règles plus simples. Leurs soutiens les plus précieux ? Le secrétariat de mairie ou la direction générale des services, et les autres élus du conseil municipal, loin devant les autres parties prenantes.

La conclusion semble évidente, et pourtant il faut la marteler : pour accompagner les maires et renforcer leur capacité d’action, il est urgent de créer des ponts, de mutualiser les forces et d’associer les bonnes compétences, publiques comme privées. C’est ce que nous faisons ici : créer du lien, partager des solutions concrètes, et mobiliser les bons partenaires !

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Cédric Szabo,
Association des maires ruraux de France
16 avril 2025
#actualite
"La démocratie du quotidien" aux éditions de l'Aube est en librairie !

À lire et à offrir pour préparer 2026 et inventer un récit positif de notre histoire démocratique collective.

Et si vous aussi vous intégriez l'Equipe de France des conseillers municipaux ?  Parce que l'engagement local, c’est là que tout commence :
➡️ Ma commune est utile.
➡️ La démocratie mérite mieux que le repli.
➡️ Les municipales approchent : on s’y prépare ?

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Danièle Licata,
ZePros Territorial
16 avril 2025
#actualite
#amenagement
#immobilier
3 Minutes / 3 Questions dans les conditions du Direct avec Emmanuel Renard, Président de Caen Normandie Métropole

France Climat vous emmène chaque semaine avec Zepros Territorial  à la rencontre d’un élu de France. Un format direct, rapide et percutant pour découvrir les défis, réussites et visions de femmes et d’hommes engagés.  Invité cette semaine, Emmanuel Renard, Conseiller municipal, ville de Caen (14), Vice-Président à la Communauté urbaine de Caen la mer en charge de l’aménagement et du foncier et Président du Pôle métropolitain Caen Normandie Métropole. En 3 minutes chrono, il partage ses projets marquants, ses petites frustrations et ses grandes ambitions pour sa commune. Un échange sans détour, à ne pas manquer !

Quel est le projet réalisé qui a marqué votre mandat de Vice-Président à la Communauté urbaine ?
Les projets ont été nombreux, mais je retiendrai un projet stratégique : la réalisation de notre projet de territoire « Caen la mer 2030-2040 s’imagine avec vous ». Cette stratégie territoriale a été coconstruite grâce à une démarche très participative qui a duré un an : une enquête auprès des habitants, avec près de 6200 répondants, un panel citoyen, 30 ateliers territoriaux et thématiques, des réunions publiques et de nombreux séminaires d’élus…
Notre stratégie territoriale est marquée par de très fortes évolutions : un modèle d’aménagement plus durable en favorisant le polycentrisme et non la concentration sur le cœur urbain mais aussi la mixité fonctionnelle des espaces. Il traduit également un engagement très volontariste dans l’accélération des transitions et l’adaptation au changement climatique. Enfin, il porte l’ambition de préserver la taille humaine du territoire et sa qualité de vie pour toutes et tous.
Très concrètement ce projet a porté les fondations de notre PLUI-HM - Plan local d’urbanisme intercommunal Habitat et Mobilité - en cours d’élaboration et qui s’est fixé comme objectif une maîtrise de la croissance démographique pour qu’elle soit soutenable et donc une diminution de la production annuelle de logements pour prendre en considération notre trajectoire de sobriété foncière mais aussi être cohérente avec la disponibilité des ressources en eau.

Caen et sa communauté urbaine sont citées comme pionnière dans la redirection écologique, pouvez-vous nous dire pourquoi ?
Effectivement, nous avons décidé en 2023 de renoncer à un projet d’ÉcoQuartier de près de 2400 logements sur lequel nous avions travaillé depuis une dizaine d’années et pour lequel nous avions pourtant obtenu toutes les autorisations administratives.
Mais les dernières données du rapport du GIEC nous ont amené en responsabilité à renoncer à ce projet. Malgré la prise en compte des risques liés à l’élévation du niveau de la mer et aux inondations, l’accélération très forte et rapide des effets du changement climatique mise en avant par les nouvelles données produites par les scientifiques venait impacter le projet à l’horizon 2070-2100. Nous ne pouvions, en responsabilité, permettre la construction de logements (donc une logique patrimoniale sur une longue temporalité) sur un espace public qui sera soumis aux aléas climatiques dans le futur. Ce renoncement est une première en France.

Et demain ?
Il nous faut réfléchir à des projets d’aménagements et d’urbanisme transitoires, temporaires et réversibles.

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Nicolas Haslé,
SCoT des Territoires du Grand Vendômois
8 avril 2025
#actualite
#amenagement
#agriculture
Filmer la jeunesse rurale : Vingt dieux et La pampa

L'année 2024 a dévoilé 2 visages singuliers de la jeunesse rurale sur grand écran, loin des poncifs et stéréotypes habituels.

  • Vingt dieux, gratifié de 2 César, braque la caméra sur une jeunesse agricole rythmée par les travaux des élevages bovins et les fêtes de villages.
  • La pampa met en scène un groupe de copains passionés de motocross.
Dans les deux cas, l'un des personnages centraux doit faire face au décès prématuré d'un père, à des responsabilités d'adulte avant l'heure, et peut s'appuyer sur l'indéffectible fidélité d'amis d'enfance et le sentiment d'être de ce territoire de racines. Chacun de ces deux longs métrages met en scène des lieux emplématiques de ressourcement et d'identité.

Ces films montrent le travail, l'éloignement de tout, l'omniprésence du besoin de tranport, la promiscuité et les préjugés qui rendent difficile de vivre hors des "normes sociales" sans affronter le jugement et la moquerie. A la campagne, l'anonymat n'existe pas. Avec tantôt retenue et pudeur, tantôt humour et maladresse, tantôt violence et rejet, la vie sexuelle naissante de ces jeunes est évoquée, avec son lot de questions, de découvertes et de silences. Ils se lèvent tôt pour travailler ou partir en étude. Ils se dépassent avec leurs moyens pour réaliser leurs projets. Ils osent être eux-mêmes et fier de l'être.

Certains rêvent de partir à la ville - la plus proche mais pas trop loin quand même - dès que possible, d'autres ne voient leur vie que sur leurs terres. 

Toutes ces facettes de la vie quotidienne, des aspirations, des joies et des difficultés des jeunes ruraux nous interrogent. Dans le pas de temps d'un PLUi et à fortioru d'un SCoT, ils seront en pleine vie active, ici ou loin : quelle place faisons-nous à leur parole, leurs projections, leurs attentes, leurs valeurs... dans nos stratégies locales ?

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Nicolas Haslé,
SCoT des Territoires du Grand Vendômois
7 avril 2025
#actualite
#decarbonation
#mobilite
Baromètre vélo : C'est parti pour l'enquête 2025 !

Tous les 4 ans, le baromètre vélo donne la parole aux usagers du vélo partout en France. L'enquête se passe en ligne. Elle est simple et factuelle.

Elle offre aux collectivités un diagnostic vécu des profils de cyclistes de leur territoire et de leurs politiques cyclables. Avec la localisation des améliorations, des points demeurant difficiles et des besoins de stationnement, ce baromètre permet aussi de nourrir les stratégies locales visant la progression des usages du vélo à court et moyen terme.

Plus les personnes qui répondent à l'enquête (entre 5 et 10 minutes maxi), plus les résultats sont exploitables.
Ce baromètre vélo est une initiative de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) avec les ministères chargés des transitions écologiques, l'ADEME et La Poste.
L'enquête et la cartographie des réponses, c'est ici : https://www.barometre-velo.fr/


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Nicolas Thouvenin,
France Climat
4 avril 2025
#actualite
#amenagement
#biodiversite
À la filature des possibles, on ne tisse pas que des idées… on renature !

Hier à Lisieux, la rencontre régionale des SCoT normands a fait le pari du concret : comprendre comment les stratégies de renaturation peuvent véritablement prendre forme.  Ce qui rend l'action possible ? Un dialogue entre collectivités, entreprises et partenaires techniques, autour de diagnostics partagés, de leviers concrets et de volontés alignées.

La planification, bien qu’éloignée en apparence des urgences du quotidien, doit permettre de poser les bonnes questions, au bon endroit, avec les bonnes personnes. Pas seulement des chiffres nationaux ou des injonctions générales, mais des problèmes bien posés, à la bonne échelle, en regardant devant, derrière et à côté.

Téléchargez ici le guide sur la renaturation proposé par la Fédération des SCoT.

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Nathalie Crouzier-Roland,
Festival Ville[s]!
20 mars 2025
#actualite
#amenagement
Le festival des sciences humaines autour de la ville revient à Saintes, samedi 19 avril 2025

(Re)construire la ville : 🏗️ c’est le fil rouge de cette nouvelle édition, entre héritage, récits urbains et nouveaux usages.

Une journée pour croiser les regards d’historien·nes, d’urbanistes, d’anthropologues, d’architectes, de géographes… et ouvrir la ville à toutes celles et ceux qui veulent la comprendre pour mieux la transformer. 🧠 Au programme :

  • Des conférences passionnantes sur la reconstruction des villes après la guerre, les mémoires urbaines, les friches invisibles, l’habitat pavillonnaire, les outils de planification...
  • Des ateliers pour décrypter les enjeux du foncier, du patrimoine et du renouvellement urbain.
  • Des visites de terrain, au cœur de Saintes, pour explorer la ville en mouvement.

Avec des chercheurs et praticiens engagés comme Nicolas Offenstadt, Anne-Claire Vallet, Marc Kaszynski, Jean-Marc Stébé, Bruno Dufaÿ, Aurélien Durand, Gilles Ragot, Pascale Francisco, et bien d’autres…

📍 Un événement accessible à toutes et tous, où se rencontrent réflexion, action et convivialité.

📘 Programme complet et inscription gratuite 👉 https://festival-villes-saintes.com

Pensez à réserver vos sessions, les places sont limitées !

Au plaisir de vous rencontrer lors de cette journée qui s'annonce mémorable

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